Histoire du Mouvement

Le Mouvement Civique Ne supprime pas la Mémoire ! né d’une action de clarification promue le le 5 octobre 2005 par un groupe de citoyens indignés avec la démolition de ancien edifício-sede de la police politique fasciste portugais, PIDE, et sa substitution par un condominium de luxe, sans quelconque respect par l’exemple d’héroïsme et de dignité des prisonniers politiques qui là ont souffert interrogatoires brutaux.

De cette action spontanée de protestation est apparu le Mouvement Civique, en décembre 2005, au cours d’une assemblée fondatrice, qui s’est réalisée dans le Musée de la République et de la Résistance, à Lisbonne. Une des premières initiatives du Mouvement a été organiser une pétition nationale, à deprésenter l’Assemblée de la République, où se plaint, de la partie de l’institution représentative de l’État démocratique, la définition d’une loi tableau qui dignifie la mémoire dont par la défense des libertés démocratiques et par la justice ils sociale ont donné des années de vie, et quelques-uns la vie elle-même, victimes de la brutalité fasciste de PIDE, la police politique de Salazar.

Cette pétition s’est rassemblée plus de quatre mille signatures et va être livrée le ce mois de juillet à l’Assemblée de la République, par une délégation du Mouvement. Cette délégation aussi s’apercevra avec les groupes parlementaires, dans le sens eux de demotiver pour que dans la proche session législative de ils 2006/07 approuvent la loi tableau qui assure la création d’espaces muséologiques nationaux, où la mémoire de la résistance à la dictature, et de la lutte pour la liberté démocratique, soit un legs de savoir politique et une pédagogie civique, dans faveur des futures générations.

Le Mouvement a réalisé le 1er avril une visite au Fort de Peniche, autre des prisons où la dictature de l’État Nouveau fermait leurs adversaires politiques dans des conditions d’absolue indignité et dédain par les les plus élémentaires droits humains. Dans cette visite a confirmé à proposition pour que se créent des manuscrits ils dont de mémoire, désignent les places où le régime dictatorial de Salazar et de Marcello Caetano a opprimé, a réprimé et a torturé des citoyens – qu’ils seulement exigeaient la reconnaissance des droits politiques et sociaux, pour elle et pour tous les Portugais.

L’organisation de ce Manuscrit de la Mémoire des places où s’est exercée la terreur policière, allumé à une autre conception, qui sera du Mémorial des Prisonniers Politiques, aussi exhaustive que les ce sera possible, sont objective en cours du Mouvement. Dans ils exécution sont conception d’un centre historique, dans une des espaces dont ce a été l’ancien siège de PIDE, ainsi que de la fixation d’un panneau dans le Tribunal de la Bonne Heure, évoquant ce qui dans défense des libertés démocratiques dans ces salles ont été jugés par les ignominiosos des “tribunaux pléniers”.

De pair avec le Fort de Peniche, la prison de l’Aljube est des principaux paradigmes, une “icône” de l’indigne répression exercée sur la population portugaise par la PVDE/PIDE/DGS, de divers sigles pour dedésigner le même entité de terrorisme policier. Donc, parce que par les “curros” de l’Ils aljube ont passé années à fil les citoyens qui clamait par justice et liberté, par sa dimension nationale d’horreur, comprend le Mouvement ne supprime pas la Mémoire! que celui-ci est un lieu d’élection pour là deêtre installé un espace muséologique, qui fasse refléter sur que a été la violence de l’État Nouveau et de sa police politique, et, surtout, fortifie l’exemple dont ont su, avec courage, combattre pour la liberté.

Au nom de l’avenir ils ne suppriment pas la mémoire !